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Quelle efficacité des purificateurs d’air Covid 19 en 2022 ?

Blog Qualité de l’air Technologie

8 février 2022

Depuis fin janvier 2020, le coronavirus bouleverse le quotidien de la planète. De la sidération du premier confinement à la propagation du variant Omicron, les connaissances ont évolué. Le maintien des gestes barrières reste un leitmotiv quand, par ailleurs, les protocoles sanitaires se succèdent dans les entreprises, à l’école…

Au fil de cette crise, les purificateurs d’air à filtre HEPA et les capteurs de CO2 se sont progressivement imposés dans les débats, y compris parlementaires, de façon respective, comme complément de la ventilation ou aération pour les premiers et indicateurs de confinement anti-Covid d’une pièce pour les seconds. Une tendance se confirme désormais : la capacité à éliminer les virus et les bactéries de l’air ambiant va demeurer un enjeu une fois la pandémie reléguée au rang d’épidémie.

Les gestes barrière pour se prémunir du virus de la Covid-19  font partie du quotidienPort du masque, lavage des mains, distanciation... et purificateurs d'air à filtre HEPA permettent de se prémunir de la Covid-19

Voici deux ans, les premiers cas de Covid-19 étaient officiellement recensés en France alors que ce coronavirus sévissait en Chine depuis au moins novembre 2019. Le 11 mars 2020, l'état de pandémie était déclaré par l'OMS.

Six jours plus tard, l'Hexagone plongeait dans le premier de ses trois confinements. Un arrêt brutal du pays qui se prolongea jusqu'au 10 mai 2020, soit un mois et vingt-cinq jours durant lesquels de nouveaux usages s'imposèrent par la force des choses, dont le télétravail, pour celles et ceux qui échappèrent au chômage partiel, et son pendant technologique… les visioconférences.

Encore méconnu du grand public, à cette époque, un purificateur d'air, équipé de filtre HEPA 13 ou filtre HEPA 14 (certifié EN 1822), est rapidement apparu comme un allié supplémentaire pour des populations parmi les plus exposées.

D'abord, dans le secteur médical et hospitalier, alors submergé par les malades atteints par le SARS-CoV-2 où il fallait protéger au plus près les soignants. Ces appareils, en mesure de capter les aérosols transportant potentiellement le virus dans l'air d'une pièce, sont d'autant plus adaptés dans les lieux clos, sans possibilité d'aération ou de ventilation.

Les purificateurs d'air professionnels NatéoSanté ont été fortement mobilisés au début de la crise sanitaire en 2020Les purificateurs d'air ont été largement déployés dans les hôpitaux dès le début de la crise sanitaire EN SAVOIR PLUS :
COMMENT FONCTIONNE UN FILTRE HEPA ?

Le filtre HEPA, élément clé d’un purificateur d’air anti-Covid selon l’avis du Haut Conseil de la Santé Publique

« Il y a aujourd'hui consensus sur la capacité d'un filtre HEPA à éliminer les virus s'ils sont véhiculés par ces aérosols, explique Vincent Chevalier, ingénieur R&D chez NatéoSanté. En contexte sanitaire, il s'agit du premier argument à porter au crédit d'un épurateur d'air comme EOLIS Air Manager. »

Si l'on se réfère au débat, début janvier 2022, relatif au projet de loi sur le pass vaccinal, on constate que l'amendement n°508, défendu puis rejeté le 3 janvier par les députés, avait pour but « d'encourager à l'installation de purificateurs d’air intérieur sans filtre dans les établissements recevant du public et dans les transports en commun ».

Le cas des écoles et la qualité de l’air intérieur des salles de classe, si l’on ajoute les capteurs de CO2 comme indicateur d’une bonne ou mauvaise QAI, étaient notamment au centre des discussions relatives aux enjeux de santé publique. Disposition écartée au regard de l'efficacité sujette à caution des modèles sans filtre.

L'efficacité des purificateurs d'air dans les salles de classes est au centre des discussionsLa qualité de l'air intérieur au sein des écoles est un sujet de préoccupation majeure

Pour les modèles s'appuyant sur un filtre HEPA, le ministre de la santé Olivier Véran avait estimé qu'ils sont pertinents quand « le renouvellement de l'air est impossible », en phase avec l’avis de référence du HCSP (27/05/21).

Celui-ci prévoit :

  • « De n’implanter que des unités mobiles par filtration HEPA H13 ou H14 ou taux de filtration équivalent, respectant les normes relatives aux filtres et aux performances intrinsèques de l’appareil ;
  • De prévoir, pour chaque implantation d’unités mobiles dans un lieu donné, une étude technique préalable par une personne qualifiée ou par le fournisseur industriel »

L’Association Pour la Prévention de la Pollution Atmosphérique (APPA) a ainsi publié un guide (juin 2021) sur la « place à donner aux dispositifs mobiles d’épuration de l’air intérieur dans le cadre de la lutte contre la propagation du virus SARS-CoV-2 dans les espaces clos ».

Fenêtre ouverte illustrant l'aération dans un bureauAérer et ventiler les locaux sont les gestes de base pour une meilleure qualité de l'air intérieur

Il rappelle que « pour lutter contre une dégradation de la qualité de l’air intérieur, les mesures fondamentales de prévention à adopter sont les suivantes :

  • Réduire les sources d’émission, afin de limiter les expositions aux polluants physico-chimiques et biologiques
  • Assurer une aération régulière des locaux et vérifier le bon fonctionnement des systèmes de ventilation afin de diluer par apport d’air neuf extérieur les polluants intérieurs et favoriser leur évacuation »

Il recommande enfin que « l’évaluation de l’efficacité et de l’innocuité d’un dispositif mobile d’épuration de l’air intérieur doit être réalisée à trois niveaux : la (ou les) technologie(s) d’épuration choisie(s), le dispositif lui-même, dans des conditions d’essais en laboratoire, mais aussi d’utilisation en vie réelle. »

Un purificateur d’air efficace à 99,6% contre les coronavirus selon des tests en laboratoire

Pour rappel sur l’efficacité respective quant aux particules captées :

  • H13 supérieure ou égale à 99,95%
  • H14 supérieure ou égale à 99,995%

« Au-delà du filtre en lui-même, il faut s'assurer que l'air capté par le purificateur va bien passer à 100% à travers les mailles… et qu'il n'y aura pas de fuite, ajoute Vincent Chevalier. Sur EOLIS Air Manager, par exemple, cette étanchéité optimale est assurée à deux niveaux : dans la constitution du filtre et à l'interface entre l'épurateur et le bloc-filtres où se trouve un joint performant.

Le bloc-filtres d'EOLIS Air Manager a une étanchéité optimaleLe bloc-filtres d'EOLIS Air Manager est parfaitement étanche

Le deuxième argument de notre modèle, c'est le filtre à oxydation qui favorise la destruction des micro-organismes.

Les lampes UV-C assurent la destruction totale des micro-organismesLes lampes UV-C d'EOLIS Air Manager éliminent tous les micro-organismes

Le troisième tient à l'action des lampes UV-C : elles ont un effet biocide sur les micro-organismes exposés à leur lumière avec une longueur d'onde de 254 nm. Elles vont aussi rayonner sur la surface aval du filtre HEPA, éliminant la part des micro-organismes bloqués dans les fibres de celui-ci. L'espérance de vie d'un coronavirus est de l'ordre de 2 à 3 jours maximum. L'exposition aux UV-C réduit ce délai. »

en savoir plus :
qu'est-ce qu'un rayon uv-c ?

En complément, le filtre à charbon actif partie prenante du bloc – sera quant à lui efficace contre les COV (Composés Organiques Volatils), c’est à dire les polluants chimiques.

En résumé, les quatre éléments d’un purificateur d’air anti-virus et Covid-19 sont :

Les tests réalisés en laboratoire ont démontré un taux d’efficacité à 99,6% contre les coronavirus de notre référence professionnelle EOLIS Air Manager.

Les purificateurs d'air EOLIS Air Manager de NatéoSanté sont efficaces à 99,6% contre les coronavirusLes purificateurs d'air professionnels EOLIS Air Manager de NatéoSanté sont efficaces à 99,6% contre les coronavirus

La bascule éventuelle en situation endémique ne signifiera pas la disparition du virus

Interrogé dans les médias le 25 janvier 2022, le professeur Jean-François Delfraissy, Président du Conseil Scientifique, a évoqué une fin possible de la 5e vague, entre Delta et le variant Omicron, d'ici mars prochain.

La veille, Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l'OMS, s'était exprimé quant à une sortie envisagée « de la phase aiguë de la pandémie dès cette année ». Tandis que le variant B-2-A, apparu au Danemark, reste scruté de près… et que des pays commencent à lever les restrictions (en Angleterre fin janvier, en France en février selon les annonces Premier Ministre Jean Castex le 20 janvier), la bascule vers une vision endémique du Covid-19 commence à faire son chemin en Europe.

Elle installe l’idée qu’il va falloir vivre avec ce virus, s’y adapter et s’habituer à appliquer le triptyque aérer, ventiler et purifier.

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